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Barça : Claudio Bravo a finalement expliqué pourquoi il avait quitté

Le cycle de Claudio Bravo au FC Barcelone n’a duré que deux saisons. Beaucoup pensent que le gardien chilien a quitté le club catalan parce que Marc-André ter Stegen était le grand pari dans le but des Blaugrana. Cependant, ce n’était pas la raison du départ du double champion américain.
Le transfert, tel qu’exprimé dans une interview accordée à TNT Sports (janvier 2021), était sollicité par lui. Et c’est parce que l’offre que lui a faite Manchester City l’a vraiment séduit.
L’idée de vivre en Angleterre, la possibilité de travailler avec Pep Guardiola et l’offre financière de Los Sky Blues ont été les principaux facteurs de sa décision. Il n’a jamais eu de réel problème avec l’actuel gardien du Barça.
«Nous venions de la Coupe des États-Unis, je suis venu avec la possibilité de prolonger ma carrière – au FC Barcelone – pour le même nombre d’années que je suis allé en Angleterre. Mais il y a aussi plus de choses derrière, il y a aussi la famille. J’ai essayé que, ma carrière et ma famille, nous grandissions ensemble».
«Depuis mon séjour à Saint-Sébastien, nous avons toujours mis mes enfants dans une école anglaise. Nous arrivons à Barcelone, nous allons à l’école d’anglais. L’option est donnée de continuer à Barcelone et avec la possibilité de pouvoir aller en Angleterre. A Barcelone, la croissance était plus la mienne que celle de ma famille. J’ai 4 enfants. Pourquoi ne pas emmener mes enfants en Angleterre ? Un peu pour leur laisser quelque chose vers l’avenir. Et bien sûr, il y a l’enjeu économique derrière. Il n’y a pas que l’aspect football, je travaille aussi comme tout être humain. J’ai aussi des conditions et j’aspire à plus de choses dans mon travail. Et les conditions qu’ils m’offraient en Angleterre étaient supérieures à celles que j’avais au Barça».
«Pas comme il y a des spéculations là-bas, qu’il y avait cette rivalité. J’ai commencé cette ligue dans la ligue en jouant, qui était ma troisième ligue avec le Barça. J’ai fini par jouer une Super Coupe dont nous étions champions. Après ça, je pars en Angleterre. Ce n’est pas qu’il ne participait pas. J’ai continué, j’ai continué à jouer de la même manière. Ce n’est pas qu’ils m’ont sorti, ce n’est pas que le pari du club était Marc».

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Au Real Madrid, il n’est toujours pas question de renouveler un emblème

L’excellent moment de grâce que vit tout le Real Madrid ne vient pas ternir la résolution d’un des dossiers les plus importants que le conseil d’administration des Merengue doit résoudre pour la saison prochaine.
Même si ce n’est pas une question qui inquiète trop, c’est une question à régler, d’autant plus que plusieurs clubs sont à l’affût de ce qui peut se passer autour de ce footballeur, qui est l’un des emblèmes de Madrid.
Le lien de Luka Modric avec les Merengue expire le 30 juin, apparemment il y a un pré-accord verbal entre Florentino Pérez et le Croate, mais depuis janvier cette question n’a pas été discutée. Bien que le joueur soit concentré sur la saison avec l’équipe, son avenir est incertain.
Tout indiquerait que Luka sera un joueur madrilène pour une saison de plus, ce qui a été vu mercredi dernier contre le PSG finit par lever tout doute qui existe quant à son renouvellement. Le footballeur croate est une pièce fondamentale non seulement dans le football mais aussi en interne.
Si le renouvellement de Modric avec le Real Madrid se concrétise, le milieu de terrain couronnera sa dixième saison vêtue de blanc, au cours de laquelle il a rempli sa carrière de gloire et de coupes dans les vitrines merengue.
Madrid pointe vers le classique
Le prochain tour de la Liga verra une nouvelle édition de la classique espagnole entre le Real Madrid et le FC Barcelone. Les Merengue pointent fortement ce match à tel point que, pour le duel contre Majorque, Luka Modric irait sur le banc pour se protéger.
L’idée de l’entraîneur est d’avoir le Croate optimal pour ce match, qui s’il remporte la victoire condamnera pratiquement la Liga en sa faveur, avec huit matchs à jouer.
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Ballon d’or : France Football annonce quatre changements majeurs dans l’attribution

Du nouveau ! De plus en plus critiqué ces dernières années sur l’identité des lauréats de son Ballon d’or, «France Football» fait peau neuve. En effet, quatre gros changements ont été apportés dans le cadre de l’attribution de la plus célèbre distinction individuelle.
Tout d’abord la plus importante, le BO sera désormais décerné sur la saison écoulée et non plus sur l’année civile : «La prochaine édition prendra donc en compte l’intégralité de la saison 2021-22 qui se terminera avec l’Euro féminin (6-31 juillet 2022). La Coupe du monde au Qatar (21 novembre-18 décembre 2022) intègrera en revanche l’édition du Ballon d’Or 2023» indique L’Equipe dans son article.
Deuxièmement, FF annonce un bouleversement chez les votants : «Parce que le Ballon d’Or débute dès l’élaboration des fameuses listes de nommés (trente pour les hommes, vingt pour les femmes et dix pour les Trophées Yachine et Kopa), il a été décidé de renforcer cette étape essentielle.
Afin de présenter une sélection de prétendants la plus juste, indiscutable et pertinente possible, a-t-on acté de faire évoluer le process qui, jusqu’alors, impliquait surtout la rédaction de France Football.
Aux listes des journalistes de FF (et de L’Équipe) viendront désormais s’ajouter celles de l’ambassadeur du BO Didier Drogba (pour le BO hommes et les Trophées Yachine et Kopa) ainsi que celle du votant qui se sera montré le plus perspicace lors de l’édition précédente».
Dans un troisième temps, les représentants des 100 premières nations au classement FIFA pourront aussi voter :
«Comme il n’est pas question d’abandonner le principe démocratique fondateur (toutes les voix se valent, quel que soit le pays), l’idée est donc de circonscrire le jury à une « élite », à de vrais connaisseurs.
Ainsi, seuls les représentants des cent premiers pays au classement FIFA (et les cinquante pour les femmes) seront « qualifiés » pour voter. Un resserrement qui renforce le niveau d’expertise et limite les (rares) votes fantaisistes. Ce qui sera perdu en pittoresque sera gagné en légitimité et en fiabilité».
Enfin et dernièrement, le règlement d’attribution sera désormais plus clair : «Puisque le football reste malgré tout un sport collectif, le critère numéro 2 s’intéressera aux performances collectives et au palmarès accumulés au cours de la saison.
Enfin, le critère numéro 3 concernera la classe du joueur et son sens du fair-play. Parce que l’exemplarité compte aussi. Les plus attentifs auront remarqué la disparition du critère «carrière du joueur». Une manière de considérer la course au Ballon d’Or comme une compétition ouverte, et non comme une chasse gardée».